***** « L’Empire », c’est le collage audacieux et frankensteinien entre le Pas-de-Calais et le lointain intergalactique, entre l’éther du ciel et la glaise de la terre, un film « monstrueux », un projet-freak (et pas franchement fric) qui assemblerait Dreyer, Bresson, Mocky, les frères Dardenne et Lucas pour représenter la rencontre entre « P’tit Quinquin », « Wonderwoman » et « Satan ». Transfuge
**** Toujours aussi décalé, le réalisateur de “P’tit Quinquin” orchestre un space opera burlesque sur ses terres du Nord. Un pari perché, parfaitement maîtrisé. Télérama
**** Il n’y a pas d’élévation, au sens divin du terme, chez les personnages de Dumont : la transcendance résulte de la simple et pourtant miraculeuse expérience sensitive du bruissement de l’univers. Parce que le chaos et la grâce cohabitent à chaque image, L’Empire nous fait entendre la mélodie de ce monde en perpétuel mouvement. Les Inrockuptibles
Synopsis
Entre Ma Loute et La Vie de Jésus, entre le ciel et la terre, Bruno Dumont nous offre une vision caustique, cruelle et déjantée de La Guerre des étoiles.