JE SUIS TOUJOURS LA

***** Walter Salles subjugue littéralement les spectateurs dans une fresque familiale vertigineuse qui dissèque avec force les ravages de vingt années de dictature militaire au Brésil.
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****   Dans la vie, Eunice Paiva, devenue avocate à 48 ans, a bataillé pour les siens mais aussi pour les droits des autochtones contre les « voleurs de terre ». À l’écran, l’extraordinaire Fernanda Torres, récompensée par un Golden Globe de la meilleure actrice tout récemment, lui prête un maintien de reine et une sensibilité à fleur de visage.
Télérama

****   Le Brésilien Walter Salles est un cinéaste rare et chacune de ses livraisons, de « Central do Brasil » à « Carnets de voyage » jusqu’à « Sur la route » marque les esprits. C’est à nouveau le cas de « Je suis toujours là », un drame poignant qui revient sur la dictature survenue dans son pays lors des années 1970.
Nice matin

Synopsis

Rio, 1971, sous la dictature militaire. La grande maison des Paiva, près de la plage, est un havre de vie, de paroles partagées, de jeux, de rencontres. Jusqu’au jour où des hommes du régime viennent arrêter Rubens, le père de famille, qui disparait sans laisser de traces. Sa femme Eunice et ses cinq enfants mèneront alors un combat acharné pour la recherche de la vérité…

Publié sur Écran Village par Moïse Maigret

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