**** Au-delà de son humour, Kneecap célèbre la résistance linguistique comme acte politique, sans jamais tomber dans le piège du film socio. Impertinent, intelligent et fun, il bat au rythme d’une jeunesse qui refuse d’être réduite au silence. Première
**** Véritable tourbillon de fraîcheur et d’humour, explosant les codes du film d’accomplissement par la musique, « Kneecap » (référence aux genoux brisés lors d’exactions de l’IRA…) pourrait bien être l’un des succès surprises de ce début d’été. Abus de Ciné
**** Le cinéaste, Rich Peppiatt, qui fait ses débuts au cinéma insuffle au film toute sa fougue, gribouille les paroles des morceaux à l’écran, comme des graffitis plaqués sur des portes de chiottes, cultivant l’irrévérence de ces gamins en surchauffe. Les Inrockuptibles
Kneecap, groupe de rap irlandais et trio de Belfast devient la figure de proue improbable d’un mouvement de défense des droits civiques visant à sauver leur langue maternelle.