***** Kôji Fukada s’impose avec Love Life en cinéaste de premier plan, capable de réinventer le mélodrame en le débarrassant des effets faciles pour lui insuffler une subtilité qui ne nuit en rien à l’impact émotionnel. On en redemande. Positif
**** À la fois mélo et thriller – le cinéaste parvient à maintenir le malaise -, Love life surprend jusqu’au bout. Télérama
**** Le Japonais passe avec une forme de cruauté de la tragédie à la comédie sans aucune transition, décrivant une humanité perdue, folle, qui fait n’importe quoi, n’importe comment. La fin, magnifique, est sans doute amère… ou pleine d’espoir. À chacun d’en décider. Les Inrockuptibles
Synopsis
Taeko vit avec son époux Jiro et son fils Keita en face de chez ses beaux-parents. Tandis qu’elle découvre l’existence d’une ancienne fiancée de son mari, le père biologique de Keita refait surface. C’est le début d’un cruel jeu de chaises musicales, dont personne ne sortira indemne.